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Top 14 : Jefferson Poirot en discussion avec l'UBB pour prolonger son contrat

Par AFP
Le pilier français de Bordeaux-Begles, Jefferson Poirot, pendant le match du Top 14 entre le Rugby Club toulonnais (RC Toulon) et l'Union Bordeaux Begles (UBB) au Stade Mayol à Toulon, dans le sud-est de la France, le 4 février 2024. (Photo by Nicolas TUCAT / AFP) (Photo by NICOLAS TUCAT/AFP via Getty Images)

Le pilier international Jefferson Poirot, devenu il y a deux semaines le recordman du nombre de matchs disputés avec Bordeaux-Bègles, où il sera en fin de contrat au terme de la saison, a indiqué vendredi 1er novembre vouloir poursuivre sa carrière jusqu’en 2027.

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« J’ai 32 ans aujourd’hui, je me suis fixé une deadline en 2027, je compte jouer encore deux ans après cette saison, en essayant de prendre du plaisir et des titres », a déclaré Poirot en conférence de presse avant le match de l’UBB à Clermont samedi 2 novembre.

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Depuis 12 ans à l’UBB

Formé à Brive, l’international aux 36 sélections (sa dernière remontant au 8 mars 2020) a disputé 232 matchs avec le club girondin qu’il a rejoint il y a douze ans.

« Je suis arrivé ici en 2012 avec mon agent de l’époque, le contexte était différent. Le club luttait pour le maintien, j’arrivais pour trois saisons, mon agent m’avait dit ‘tu fais trois saisons et après tu signeras dans un grand club’ et au final c’est l’UBB qui est devenue un grand club », sourit Poirot.

« Mon agent m’avait dit ‘tu fais trois saisons et après tu signeras dans un grand club’ et au final c’est l’UBB qui est devenue un grand club… »

« J’ai fait partie de cette aventure, c’est beaucoup de plaisir et de fierté d’avoir pu être dans un club qui a évolué au même rythme que ma carrière », reconnait-il, avouant avoir hésité plusieurs fois à partir durant son bail unioniste.

Toujours pas d’accord trouvé

« J’ai dû me poser la question mais finalement, à chaque fois, j’étais dans une étape de ma carrière où le club était dans une étape de transition », poursuit l’ancien capitaine des Bleus.

« Je suis devenu international ici, j’ai tout donné pour qu’on arrive à être en Champions Cup (en 2015-2016), puis après la Coupe du monde 2019, j’étais en fin de contrat, (l’ancien manager) Christophe Urios est arrivé et j’ai senti qu’on allait passer un cap et jouer les phases finales. Donc je suis resté. »

Interrogé sur son avenir, Poirot a confié « être en discussion » avec son club. « C’est une période un peu charnière. J’ai exprimé ma volonté qui était de continuer. Aujourd’hui, je suis en réflexion », a-t-il poursuivi affirmant « être très bien dans l’équipe ».

Le pilier français Jefferson Poirot lors du match international de rugby à XV des Six Nations entre le Pays de Galles et la France au Principality Stadium de Cardiff, dans le sud du Pays de Galles, le 17 mars 2018. (CHRISTOPHE SIMON/AFP via Getty Images)
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En forme cette saison avec « la présence dans le staff d’hommes avec lesquels je suis en confiance ou qui ont été important à des moments de ma carrière » comme Yannick Bru et Thibault Giroud qu’il a connu en équipe de France, le préparateur Ludovic Loustau ou son ancien coéquipier Jean-Baptiste Poux, en charge de la mêlée.

Poirot apprécie aussi « la très grosse concurrence » des piliers gauche Ugo Boniface (26 ans) et Matis Perchaud (22 ans).

« J’adore être dans un environnement compétitif, challengeant. Le niveau de Ugo et Matis me pousse à donner le meilleur de moi-même », a conclu Poirot qui sera titulaire samedi face au Clermont de Christophe Urios.

 

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J
JW 37 minutes ago
'Razor's conservatism is in danger of halting New Zealand's progress'

Razor is compensating, and not just for the Foster era.


Thanks again for doing the ground work on some revealing data Nick.


This article misses some key points points that are essential to this debate though;


Razor is under far more pressure than Rassie to win

Rassie is a bolder selector than Razor, and far more likely to embrace risk under pressure than his counterpart from New Zealand.

It doesn't realise the difficulties of a country like South Africa, with no rugby season to speak of at the moment, to get full use out of overseas internationals

Neither world player of the year Pieter-Steph du Toit nor all-world second row Eben Etzebeth were automatic selections despite the undue influence they exert on games in which they play.

The last is that one coach is 7 years into his era, where the other is in his first, and is starting with a far worse blank slate than where upon South Africa's canvas could be layered onto after 2017.

The spread at the bottom end is nothing short of spectacular. Seventeen more South Africans than New Zealanders started between one and five games in 2024.

That said, I think the balance needs to be at least somewhere in the middle. I don't know how much that is going to be down to Razor's courage, and New Zealands appetite however.


Sadly I think it is going to continue and the problem is going to be masked by much better results next year, even forgotten with an undefeated season. Because even this article appears to misconstruing the..

known quantities

as being TJP and Sam Cane. In the context of what would need to change for the numbers above to be similar, it's players like Jordie Barrett, Beauden Barrett, Rieko Ioane, Sevu Reece, Ethan Blackadder, Codie Taylor, where the reality needs to be meet face on.


On Jordie Barrett at Lienster, I really hope he can be taught how to tackle with a hard shoulder like Henshaw and Ringrose have. You can see in these highlights he doesn't have the physical presence of those two, or even the ones behind him in NZ like ALB and AJ Lam. I can't really seem him making leaps in other facets if he's already making headlines now.

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