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Top 14 : Vannes n’y arrive toujours pas

Le demi d'ouverture français de Vannes, Thibault Debaes (à gauche), est plaqué lors du match de Top 14 entre l'USA Perpignan et le RC Vannes au stade Aimé-Giral de Perpignan, dans le sud-ouest de la France, le 2 novembre 2024. (Photo by IDRISS BIGOU-GILLES / AFP) (Photo by IDRISS BIGOU-GILLES/AFP via Getty Images)

Avec cette nouvelle défaite 32-13 à Perpignan samedi 2 novembre, le RC Vannes termine le premier bloc de la saison à la dernière place avec sept défaites en neuf matchs.

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Les deux seules éclaircies sont arrivées au Stade de la Rabine avec un 30-20 contre Lyon (21 septembre) et 34-28 face à Castres (26 octobre). Contre Toulouse, le Stade Français, Toulon, le Racing 92, Montpellier et Clermont, ça a été beaucoup plus compliqué.

Rencontre
Top 14
Perpignan
32 - 13
Temps complet
Vannes
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Et au lendemain de la trêve, le programme ne s’annonce guère plus optimiste avec la réception de Bordeaux (1er en date du 2 novembre) le 23 novembre et le déplacement à La Rochelle (3e) le week-end suivant.

« Pas de solution » selon Spitzer

« Il aurait fallu énormément de réussite pour espérer quelque chose. Il n’y avait pas de solutions aujourd’hui », regrettait Jean-Noël Spitzer, l’entraîneur du RC Vannes après le match à Perpignan, en pointant du doigt les axes d’amélioration.

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Joel Kpoku on life in the very physical French Top 14

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« Ce n’est pas une désillusion, on a été sous pression par une très bonne équipe de Perpignan. Il aurait fallu faire un autre match sur la précision, la connexion, la réussite aussi pour espérer autre chose. Est-ce que c’est dû à nos insuffisances ou à la pression de l’adversaire ? Je n’ai pas senti qu’on pouvait faire basculer le match en notre faveur.

« On a été dominé en conquête sur la première mi-temps mais la pression de l’Usap sur le jeu au sol nous a empêchés d’avoir des sorties rapides. Avoir tous les ballons en touche, ce n’est pas si compliqué mais pouvoir les utiliser ensuite dans de bonnes conditions, c’est différent. Ça nous a privés de munitions et notre jeu derrière n’a pas été propre. »

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Petits Poucet du Top 14, les Bretons font la difficile expérience du très haut niveau français, eux qui pensaient qu’une victoire était possible à Perpignan, avant-dernier avant le coup d’envoi et qui devait faire avec plusieurs absences.

Phases statiques

7
Mêlées
8
71%
% de mêlées gagnées
63%
19
Touche
12
84%
% de touches gagnées
75%
7
Renvois réussis
4
86%
% de renvois réussis
100%

« Quand je vois l’infirmerie de Perpignan et la qualité des joueurs aujourd’hui, ça prouve la densité d’un effectif de Top 14 et le chemin qui nous reste à parcourir. Ce n’est pas une surprise », admet Spitzer.

A l’inverse, Guillaume Vilaceca (entraîneur adjoint de Perpignan), se déclarait satisfait : « J’ai bien aimé le caractère des joueurs, qui ont su réagir après deux essais refusés après visionnage vidéo. On a fait preuve d’une belle force collective. On est toujours dans le bon wagon du Top 14. »

La première participation de l’international italien Stephen Varney aurait donc pu être meilleure, lui qui est entré en jeu à la 55e minute.

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Le RC Vannes va désormais libérer ses internationaux :  Francisco Gorrissen et Juan Bautista Pedemonte pour l’Argentine, Iñaki Ayarza pour le Chili, Martin Alonso Muñoz pour l’Espagne et Charlesty Berguet, Jean-Maurice Decubber et Maurice Fromont pour la Belgique.


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Comments on RugbyPass

S
SK 5 hours ago
'Razor's conservatism is in danger of halting New Zealand's progress'

Its an interesting few points you raise Nick. Rassie has been way bolder than Razor in selection but then again he really has to be as he plots towards 2027. The reality is more than half his squad from 2023 may have to be culled and this includes some of the best players the Boks have ever had on their books. The age profile of his team was such that he needed to blood all these young players and he will do the same next year with even more players as he tries to put together a squad with enough experience to take to 2027. Razor on the other hand has a large number of players that will make 2027. Alot of players will be over 100 caps and these players would have multiple caps together. A large amount of these are starters as well. He is trying to build combinations and a rigid style of play. Razor wants absolute control and you can see it. He wants his players to follow his instructions to the tee. He will not accept anything less. He has included some young guns who he will stick with and older players who have earned his trust. Razor goes with what he knows and appears reluctant to accept quick change. He is the kind of coach who will change incrementally and that may not be a bad thing given his position and the profile of his squad. It also gives the players time to setlle into their roles and to work within his system. Razor has a narrow focus on winning. he wants results now and wont take any risks in selection while he believes the current group can win. He is the most conservative NZ coach in the last 25 years to take the top job. This could stall NZ progress or it could create a team that is unstoppable and ready for anything going into 2027 albeit without the same level of depth as the Boks.

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