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La succession de Bill Beaumont à la tête de World Rugby est ouverte

Le président de World Rugby Sir Bill Beaumont avant le match pour le 3e place de la Coupe du monde 2023 entre l'Argentine et l'Angleterre au Stade de France le 27 octobre 2023 à Paris, France. (Photo Julian Finney - World Rugby/World Rugby via Getty Images)

Depuis le lundi 23 septembre, les candidats à la présidence de World Rugby peuvent officiellement déposer leur dossier afin de briguer la succession de Bill Beaumont, président de l’instance internationale depuis 2016.

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Les élections auront lieu le 14 novembre prochain à Dublin. Les 52 membres du Conseil de World Rugby voteront pour désigner un nouveau président, un nouveau vice-président et de nouveaux membres du conseil exécutif.

Ces élections sont les premières à se tenir dans le cadre du nouveau modèle de gouvernance introduit en 2022, établi à la suite d’un audit indépendant. Conformément au règlement, les membres du Conseil éliront d’abord un nouveau président, puis six membres du bureau exécutif, parmi lesquels sera élu un vice-président.

Bill Beaumont atteint par la limite de mandats

Le comité exécutif sera composé de deux membres issus des fédérations « haute performance » de l’hémisphère nord, deux des fédérations « haute performance » de l’hémisphère sud et d’un membre issu d’une fédération « non haute performance » ou d’un membre d’une association régionale. Chacun de ces membres sera élu pour un mandat de quatre ans.

Le président Beaumont, qui avait succédé à Bernard Lapasset en juillet 2016, a effectué deux mandats. Il ne peut par conséquent pas être candidat à sa propre succession, les statuts de World Rugby limitant les mandats présidentiels à deux.

Pour prétendre à ce poste, les candidats doivent être membres du Conseil de World Rugby et être nommés par une fédération membre ou une association régionale. Tous les candidats nommés feront l’objet d’un audit indépendant par le responsable indépendant de l’éthique de World Rugby, un poste introduit dans le cadre du nouveau code d’intégrité de 2022.

Le président, une fois élu, a un statut indépendant, et rejoindra le conseil d’administration d’EventsCo, la branche médiatique et événementielle de World Rugby.

L’élection du vice-président suivra la même procédure de vote à bulletin secret, le candidat ayant reçu le plus grand nombre de voix étant nommé.

Trois candidats connus, dont Benazzi

Les candidats devront obtenir une majorité simple pour être élus. Le vote se déroulera à bulletin secret, sous le contrôle de scrutateurs indépendants, et le nombre de voix recueillies par chacun des candidats sera communiqué.

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L’ouverture des candidatures intervient quelques jours seulement après le retrait du vice-président John Jeffrey. L’Écossais faisait figure de favori mais il a retiré son dossier car il n’a pas reçu le soutien de sa propre fédération (Scottish Rugby).

L’ancien international français Abdelatif Benazzi fait partie des candidats déclarés, comme il l’a annoncé il y a quelques semaines.

L’Australien Brett Robinson et l’Italien Andrea Rinaldo devraient être les autres prétendants à la présidence de World Rugby.

L’ensemble des candidats ont jusqu’au 15 octobre pour déposer leur dossier de candidature.

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J
JW 1 hour ago
All Blacks report card: Are Razor's troops heading in the right direction?

perhaps one or two up and coming youngsters who were either capped recently or are uncapped and are targeted for long term eligibility in another nation.

Yes some sort of loyalty needs to be used to stop the Lakai's or Sititi's if they hadn't been signed up in time, from thinking they can leave.


Everyone already thinks that SR is weak because theres no longer anyone to challenge the top 4 kiwi sides, despite them not challenging them for over a decade already, so you might as well take them down to the other 8 teams level?

If the quality of the comp drops then it will lead to slower player development for those who play in this comp. It will lead to lower standards and a lower bar.

I don't really agree with that in and of itself. A competition where more games are contested is going to drive performances up. You just need to ensure there are those with that top level performance experience, like James O'Connor, they don't actually need them do be delivering that performance they're championing.


If the NZ teams were weakened to where all 12 teams were on a comparable level (theres always 4 NZ sides that are still the best in the world) I'd argue that actually increases everyones development. It's just key that players still know what that highest bar is even if theyre not reaching it.


Of course one of the most important aspects is the marketability of the competition as best in world. But as I say until the ABs return to the top noone is going to beleive that of SR so maybe now is a good time to try some changes?

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