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Lenni Nouchi forfait pour la tournée d'automne
Par Willy Billiard
Coup dur pour le XV de France annoncé en début de matinée ce vendredi 24 octobre par voie de communiqué : « Lenni Nouchi (Montpellier HR) est forfait. Pierre Bochaton (Union Bordeaux Bègles) intègre le groupe XV de France pour la Tournée d’Automne 2025 ».
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Il était prévu que le capitaine de Montpellier (depuis février 2024) ne participe pas à la rencontre de la 8e journée face au Stade Français ce samedi 25 octobre. Le troisième-ligne de 21 ans n’avait même pas participé à la séance d’entraînement le jeudi 23 octobre, se contenant de regarder ses camarades depuis les tribunes.
Cette saison, il a été de toutes les feuilles de match du MHR jusqu’à présent (six titularisations), totalisant 471 minutes de jeu et quatre essais. En très grande forme en ce moment, l’ancien capitaine champion du monde avec les U20 (2023) a déjà porté le maillot tricolore à 2 reprises en Argentine à l’été 2024.
Aucune information n’a pour l’instant filtré sur les raisons exactes qui ont conduit à ce forfait et si, éventuellement, Lenni Nouchi pourra intégrer le groupe France d’ici la fin des tests de novembre au cours desquels les tricolores joueront contre l’Afrique du Sud (8 novembre), les Fidji (15 novembre) et l’Australie (22 novembre).
Pierre Bochaton repêché
C’est donc le troisième-ligne de Bordeaux Pierre Bochaton, au repos le week-end précédent contre Perpignan, qui a été rappelé pour garder le groupe à 42 joueurs. Absent de la première liste, il compte deux sélections avec les Bleus, toutes deux obtenues pendant la tournée en Nouvelle-Zélande en juillet dernier.
« Forcément, quand on y a goûté, on a envie d’y retourner », confiait-il en début de semaine auprès de nos confrères de ICI Gironde , conscient que la défaite des trois matchs n’avait pas été satisfaite. « Il faut encore bosser, encore plus, pour pouvoir y revenir. Et après, il faut y rester. Et ça, c’est encore autre chose. Faut continuer à bosser en club, et on verra bien ce que l’avenir nous réserve.
« C’était magnifique de pouvoir jouer contre les Néo-Zélandais, en Nouvelle-Zélande. Et puis on voit direct que le niveau international, c’est un cran au-dessus. Ça va plus vite, ça tape plus fort. Y’a plein de choses à améliorer pour être à ce niveau-là. On voit bien les différences qu’il y a quand on passe à l’international. Et forcément, ça pousse à bosser encore plus. »