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Les grandes manœuvres commencent au Stade Français

Chassé-croisé de l'été : Yoan Tanga (ballon en main) arrive au Stade Français, tandis que Rory Kockott (à gauche) en part (Photo by XAVIER LEOTY/AFP via Getty Images).

Quatre jours à peine après avoir clôturé sa saison, au terme de la demi-finale perdue contre l’Union Bordeaux-Bègles, le Stade Français lance les grandes manœuvres en vue de la saison prochaine.

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Le club parisien a en effet confirmé le départ de douze joueurs, dont plusieurs cadres qui comptent plus de 100 matchs en rose comme le 2e ligne Mathieu de Giovanni, l’arrière Kylan Hamdaoui et le demi d’ouverture Joris Segonds.

L’ancien international Rory Kockott, arrivé au club en tant que joker Coupe du Monde, quitte lui aussi le club comme annoncé plus tôt dans la journée. À 38 ans, le demi de mêlée d’origine sud-africaine a réussi une superbe saison, quelque peu gâchée par son match raté en demi-finale à Bordeaux.

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Le pilier international géorgien Vasil Kakovin et son partenaire avec les Lelos, le 3e ligne aile Giorgi Tsutskiridze, le centre australien Sefanaia Naivalu, le N.8 allemand Giovanni Habel-Küffner, le talonneur Ivaldi, le 3e flanker Julien Ory et l’ailier Stéphane Ahmed complètent la liste.

Pour compenser cette vague de départs, le club de la capitale a annoncé l’arrivée de neuf nouveaux joueurs, dont quatre internationaux.

Quatre internationaux, deux joueurs de Pro D2, un de Nationale

Deux Bleus font partie des nouveaux venus : le demi d’ouverture Louis Carbonel (Montpellier) et le 3e ligne Yoan Tanga (La Rochelle).

Le talonneur italien Giacomo Nicotera et l’ailier du Portugal Raffaele Costa Storti sont les deux autres internationaux à rejoindre Paris, en provenance respectivement du Benetton (URC) et de Béziers (Pro D2). Le Portugais a terminé meilleur marqueur d’essais de la 2e division.

Les divisions inférieures françaises constituent un vivier pour le Stade Français, qui a pioché le talonneur Luka Petriashvili à Carcassonne (Nationale) et l’arrière Joe Jonas à Biarritz (Pro D2).

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Les autres autres signatures concernent l’ailier de Pau Samuel Ezeala, l’ouvreur de Montpellier Louis Foursans-Bourdette et le 3e ligne de Bayonne Pierre Huguet.

« Ce sont des joueurs que l’on a ciblés depuis plusieurs mois et nous sommes heureux qu’ils nous rejoignent. Ils rentrent parfaitement dans notre projet et cochent les cases pour poursuivre le travail déjà réalisé cette saison », a rappelé le manager parisien Laurent Labit sur le site du club.

« Des joueurs sérieux pour travailler avec humilité dans une dynamique commune, ce sera le leitmotiv de la saison prochaine. Le Stade Français Paris se doit de jouer les premiers rôles chaque année et avec ces renforts, nous nous donnons les moyens de le faire. »

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S
SK 3 hours ago
'Razor's conservatism is in danger of halting New Zealand's progress'

Its an interesting few points you raise Nick. Rassie has been way bolder than Razor in selection but then again he really has to be as he plots towards 2027. The reality is more than half his squad from 2023 may have to be culled and this includes some of the best players the Boks have ever had on their books. The age profile of his team was such that he needed to blood all these young players and he will do the same next year with even more players as he tries to put together a squad with enough experience to take to 2027. Razor on the other hand has a large number of players that will make 2027. Alot of players will be over 100 caps and these players would have multiple caps together. A large amount of these are starters as well. He is trying to build combinations and a rigid style of play. Razor wants absolute control and you can see it. He wants his players to follow his instructions to the tee. He will not accept anything less. He has included some young guns who he will stick with and older players who have earned his trust. Razor goes with what he knows and appears reluctant to accept quick change. He is the kind of coach who will change incrementally and that may not be a bad thing given his position and the profile of his squad. It also gives the players time to setlle into their roles and to work within his system. Razor has a narrow focus on winning. he wants results now and wont take any risks in selection while he believes the current group can win. He is the most conservative NZ coach in the last 25 years to take the top job. This could stall NZ progress or it could create a team that is unstoppable and ready for anything going into 2027 albeit without the same level of depth as the Boks.

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