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« Une défaite très, très douloureuse » pour le Racing 92

Par Willy Billiard
L'ailier de Bordeaux, Damian Penaud (2e à droite), marque un essai lors du match de Top14 entre l'Union Bordeaux-Begles (UBB) et le Racing 92 au stade Chaban-Delmas à Bordeaux, dans le sud-ouest de la France, le 21 septembre 2024. (Photo by ROMAIN PERROCHEAU / AFP) (Photo by ROMAIN PERROCHEAU/AFP via Getty Images)

Avec AFP

Le choc du Top 14 entre Bordeaux-Bègles et Racing 92 s’est soldé par une victoire éclatante de Bordeaux (52-34) samedi 21 septembre, avec treize essais au total.

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Ce match, disputé dans un stade Chaban comble, a révélé la puissance offensive des Bordelais, qui avaient déjà infligé 46 points au Stade Français lors de leur précédente rencontre.

Damian Penaud et Louis Bielle-Biarrey se sont illustrés en marquant chacun trois essais, contribuant ainsi à une première mi-temps explosive.

Rencontre
Top 14
Bordeaux
52 - 34
Temps complet
Racing 92
Toutes les stats et les données

Dès les premières minutes, Bordeaux a pris l’ascendant, atteignant un score de 24-3 grâce à des doublés rapides de Penaud et Bielle-Biarrey.

Malgré une tentative de révolte du Racing, avec un essai de Maxime Baudonne, Bordeaux a maintenu la pression. Matthieu Jalibert a ajouté un essai spectaculaire, portant le score à 31-10 avant la pause.

Graphique d'évolution des points

Bordeaux gagne +18
Temps passé en tête
75
Minutes passées en tête
2
91%
% du match passés en tête
2%
24%
Possession sur les 10 dernières minutes
76%
7
Points sur les 10 dernières minutes
12

En seconde période, le Racing a tenté de réduire l’écart, mais Bordeaux a continué à briller avec des essais supplémentaires, dont un de Nicolas Depoortere.

Malgré quelques erreurs de la défense bordelaise, notamment avec des cartons rouges et jaunes pour Lachlan Swinton et Penaud, le Racing a réussi à marquer deux essais tardifs.

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Cependant, un dernier contre en touche du troisième-ligne Bastien Vergnes a assuré la victoire à Bordeaux, qui conserve ainsi son bonus offensif.

« On va retenir la victoire et aussi le caractère de l’équipe car on est à 13 en fin de match et on arrive à sauver le bonus offensif. Il fallait les étouffer et les prendre à la gorge. La chose a été plutôt bien faite », a confié le troisième-ligne bordelais à l’issue de la rencontre.

Synthèse du match

0
Coups de pied de pénalité
1
8
Essais
5
6
Transformations
3
0
Drops
0
98
Courses avec ballon
147
9
Franchissements
6
10
Turnovers perdus
14
4
Turnovers gagnés
5

« Défaite très, très douloureuse », admettait à son tour Max Spring, l’arrière du Racing 92. « On ne s’attendait pas être corrigé comme ça. On a eu un gros passage à vide en première mi-temps et contre des joueurs comme ça, ça se paye cash.

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« En deuxième mi-temps, c’était mieux mais le mal était fait. La honte, on l’a envers nous mais il faut qu’on reste soudé. L’année dernière, ils sont allés en finale, on voit ce qu’il faut faire pour arriver en finale. »

Cette performance permet à l’Union Bordeaux-Bègles de se positionner à la deuxième place du classement, juste derrière Toulouse, tandis que le Racing 92 doit réfléchir à ses lacunes défensives après avoir encaissé un grand nombre de points pour la deuxième fois cette saison.

Top 14

P
W
L
D
PF
PA
PD
BP T
BP-7
BP
Total
1
Toulouse
3
3
0
0
13
2
Bordeaux
3
2
1
0
10
3
Clermont
3
2
1
0
10
4
Castres
3
2
1
0
10
5
La Rochelle
3
2
1
0
9
6
Lyon
3
2
1
0
8
7
Montpellier
3
1
2
0
5
8
Toulon
2
1
1
0
5
9
Racing 92
3
1
2
0
5
10
Vannes
3
1
2
0
5
11
Pau
3
1
2
0
5
12
Stade Francais
2
1
1
0
4
13
Bayonne
3
1
2
0
4
14
Perpignan
3
0
3
0
1

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E
EV 5 hours ago
Is this why Ireland and England struggle to win World Cups?

Rassie is an extremely shrewd PR operator but the hype and melodrama is a sideshow to take the attention from the real reason for the Boks dominance.


Utimately the Boks dominate because Rassie and his team are so scientific and so driven. His attention to detail and obsessive analysis smacks of Tom Brady's approach.


He has engineered a system to find and nurture talent from the best schools to the most desolate backwaters. That system has a culture and doctrine very similar to elite military units, it does not tolerate individuals at the expense of the collective.


That machine also churns out three to five world class players in every position. They are encouraged to play in Ireland, England, France and Japan where their performance continues to be monitored according to metrics that is well guarded IP.


Older players are begged to play in the less physical Japanese league as it extends their careers. No Saffa really wants to see Etzebeth or Peter Steph or Pollard play in France or British Isles. And especially not in South Africa, where you just have these big, physical young guns coming out of hyper competitive schools looking for blood.


Last but but no means the least is the rugby public's alignment with the Springbok agenda. We love it when they win between World Cups but there is zero drama if they lose a game or a string of games for the sake of squad depth.


It's taken time to put it together but it has just matured into a relentless machine.

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