La Coupe du monde féminine a généré plus d'un milliard d'impressions numériques

La Coupe du monde de rugby féminin 2025, remportée brillamment par l’Angleterre, nation hôte, aura donc été un succès majuscule dans tous les secteurs. Sur le terrain, avec du spectacle en continu, dans les stades, avec une fréquentation inédite à l’image de la finale qui a rempli les 82 000 sièges de Twickenham et aussi en dehors du rectangle vert. Sur les réseaux sociaux, l’événement a fait un tabac avec pas moins d’1,1 milliard d’impressions numériques sur ses propres canaux sociaux.

Un chiffre astronomique qui fait de cette édition 2025 la deuxième plus grande Coupe du Monde de rugby jamais organisée sur le plan numérique, derrière France 2023 chez les hommes.

L’évènement a attiré une nouvelle vague de fans plus jeunes et d’origines plus diversifiées, en particulier sur les plateformes TikTok et Instagram, les fans féminin représentant les deux tiers de tous les nouveaux abonnés. Cette forte augmentation de l’engagement s’est reflétée sur les réseaux sociaux officiels, qui ont enregistré 31,1 millions d’interactions (likes, partages et commentaires) pour 8 760 publications.

Une exposition qui a donné un peu plus de visibilité encore aux têtes d’affiche comme l’Américaine Ilona Maher ou à l’Anglaise Ellie Kildunne, et qui a globalement profité à toutes les joueuses avec une augmentation moyenne d’abonnés de 37% pendant la compétition.

An era-defining tournament ✨#RWC2025 pic.twitter.com/pPqSyCBNIt

— Rugby World Cup (@rugbyworldcup) October 29, 2025

Un carton qui témoigne de la « puissance d’un monde du rugby uni »

La stratégie de contenus vidéo du tournoi a également donné des résultats exceptionnels, avec 850 millions de vues et plus d’un demi-million de nouveaux abonnés sur les chaînes de World Rugby et de la Coupe du Monde de Rugby pendant la durée de la compétition.

« La Coupe du Monde de Rugby féminine 2025 a battu divers records numériques et a captivé l’imagination de millions de personnes à travers le monde, se félicite Alan Gilpin, directeur général de World Rugby. Grâce à une collaboration intelligente et à l’innovation, nous avons non seulement accru notre part d’attention, mais nous avons également renforcé notre pertinence auprès des femmes et des jeunes. Le niveau de partenariat entre les fédérations, les joueuses et les plateformes était sans précédent, témoignant de la puissance d’un monde du rugby uni travaillant vers une vision commune. »

Un succès qui servira de base à World Rugby pour « continuer à stimuler la croissance du rugby féminin », une pratique qui a vocation a croitre énormément dans les prochaines années.