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Echange avec Northampton : JJ van der Mescht quitte le Stade Français, Mapu arrive
Par Neil Fissler
Finaliste de la Champions Cup 2024/25, Northampton a enfin trouvé un accord avec le Stade Français pour le transfert de JJ van der Mescht. Le deuxième ligne sud-africain rejoindra Franklin’s Gardens dès la saison prochaine.
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Phil Dowson, manager des Saints, en avait fait sa priorité pour remplacer Temo Mayanavanua, en partance pour les Fijian Drua. L’imposant Van der Mescht (2,01 m, 145 kg), ancien international U20 sud-africain, avait tapé dans l’œil du staff anglais lors d’un match de Champions Cup en janvier. Il avait notamment inscrit un de ses quatre essais de la saison lors de leur défaite 35-45 au stade Jean-Bouin.
« Arrivé dans la capitale française en 2021 en provenance des Sharks (Afrique du Sud), JJ Van Der Mescht s’est rapidement imposé dans l’effectif parisien. En quatre ans, il aura disputé 87 rencontres sous le maillot du Stade Français Paris », rappelle le club.
Le deal n’a pourtant rien eu de simple compte tenu du salaire du joueur (estimé à plus de 450 000 euros par saison) qui a freiné les ardeur des Saints, si bien que le deal a bien failli ne jamais se faire. Certaines sources bien informées allaient même jusqu’à évoquer la possibilité que le Stade Français doive subventionner le transfert s’il voulait réellement se séparer de Van der Mescht cet été.
Le 3ème ligne Iakopo Mapu s’engage avec les Soldats Roses et arrive en provenance des @SaintsRugby ! 🌸
Bienvenue Iaks ! ⚡️#SFParis pic.twitter.com/JzOUraoA9t
— Stade Français Paris (@SFParisRugby) June 30, 2025
Dans l’autre sens, Iakopo Mapu, troisième ligne samoan de Northampton, fait le chemin inverse. Arrivé en novembre dernier, il a disputé sept rencontres, dont une expulsion contre Ealing en Premiership, et a conclu son passage en marquant un essai lors du dernier match de la saison, à Gloucester. Il était à Paris lundi pour passer sa visite médicale avant de s’engager avec l’équipe de Paul Gustard.
Dowson n’a pas tari d’éloges sur le joueur : « Yak a été une vraie plus-value pour le groupe. Il a mis une énergie formidable dans l’environnement. On était toujours contents de pouvoir lancer le “Big Yak” en cours de match. »
Cet article, publié sur RugbyPass, a été adapté en français par Willy Billiard.
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