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Après 22 ans à Bayonne, les doutes de Guillaume Rouet

Le demi de mêlée français de Bayonne, Guillaume Rouet, saisit le ballon lors du match de Top 14 entre l'Aviron Bayonnais (Bayonne) et l'Union Bordeaux-Begles (UBB) au stade Jean Dauger à Bayonne, dans le sud-ouest de la France, le 27 avril 2024. (Photo by GAIZKA IROZ / AFP) (Photo by GAIZKA IROZ/AFP via Getty Images)

Guillaume Rouet ne veut pas y croire tellement il serait déçu du manque de classe que les dirigeants de l’Aviron Bayonnais lui auraient témoigné ces jours-ci.

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Lorsque la presse se fait l’écho dans le week-end de la signature imminente du demi de mêlée sud-africain Herschel Jantjies, champion du monde 2019 avec les Springboks, la saison prochaine (confirmée lundi soir), et lundi matin du prolongement du contrat de Maxime Machenaud pour une saison de plus, Rouet a du mal à comprendre.

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Il a passé 22 ans au club

Avec Baptiste Germain (24 ans) qui a signé un contrat de trois ans l’été dernier, trois demis seraient ainsi sécurisés pour la saison prochaine alors qu’on ne lui a rien proposé. Machenaud aurait rendez-vous avec les dirigeants le 29 décembre pour finaliser, selon Sud-Ouest.

« Je ne suis au courant de rien pour l’instant. Je n’ai été ni reçu par le staff, ni par les dirigeants du club. Je l’ai appris comme vous ce matin dans la presse. Je ne sais pas si c’est vrai ou pas », confie Guillaume Rouet dans l’émission 100% Rugby sur France Bleu Pays Basque.

« En tout cas j’ose espérer que si c’est le cas on serait venu me voir avant. Je me dis que l’article… je ne sais pas s’il est vrai ou pas. J’ose espérer que non. »

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Ce serait alors un coup dur pour le joueur de 36 ans qui a passé sa carrière au club. 22 ans ; il a commencé avec les cadets. Même après 256 matchs, l’international espagnol (31 sélections) n’est pas encore disposé à arrêter.

« A l’Aviron ou ailleurs, je ne sais pas », dit-il. « Par respect, prendre la température de me convoquer juste pour savoir ce que je compte faire. C’est le minimum de respect par rapport à mes années passées au club. »

Une saison marquée par les blessures

Et même si les derniers mois ont été difficiles du fait des blessures, il n’a rien perdu de sa détermination. Après une opération du genou en fin de saison, il n’a pas pu vraiment couper et s’est blessé aux ischios, manquant son début de saison. Une première depuis 2018.

« C’est frustrant surtout quand on voit les prestations des coéquipiers à la TV. T’as envie de jouer ces matchs-là. Il va rester 16 matchs de Top 14 et j’espère en faire un maximum », dit-il.

« Je vais faire en sorte de faire une belle deuxième partie de saison, éviter les blessures et donner le meilleur de moi-même quand on fera appel à moi », enchaîne-t-il alors qu’il a toujours fallu se battre pour rester haut dans la hiérarchie.

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Rencontre
Top 14
Bayonne
21 - 13
Temps complet
Stade Francais
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« C’est ce qui m’a boosté toute ma carrière. C’est sûr que des fois c’était un peu usant mentalement », admet le joueur. « Je n’ai qu’une envie, c’est de retrouver les terrains et m’exprimer le mieux possible jusqu’à la fin de la saison. »

Avec quatre défaites en cinq matchs à l’extérieur et un seul bonus défensif obtenu à Bordeaux, l’Aviron Bayonnais reste malgré tout au contact du Top 6 avant la réception du Stade Français dimanche 1er décembre.

« Avant la trêve européenne, ce serait bien de partir, avant un nouveau chapitre, sur une victoire contre le Stade Français », reconnaît le joueur.

Découvrez les coulisses des deux camps lors de la tournée des Lions britanniques et irlandais en Afrique du Sud en 2021. A voir en exclusivité sur RugbyPass TV dès maintenant.

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S
SK 5 hours ago
'Razor's conservatism is in danger of halting New Zealand's progress'

Its an interesting few points you raise Nick. Rassie has been way bolder than Razor in selection but then again he really has to be as he plots towards 2027. The reality is more than half his squad from 2023 may have to be culled and this includes some of the best players the Boks have ever had on their books. The age profile of his team was such that he needed to blood all these young players and he will do the same next year with even more players as he tries to put together a squad with enough experience to take to 2027. Razor on the other hand has a large number of players that will make 2027. Alot of players will be over 100 caps and these players would have multiple caps together. A large amount of these are starters as well. He is trying to build combinations and a rigid style of play. Razor wants absolute control and you can see it. He wants his players to follow his instructions to the tee. He will not accept anything less. He has included some young guns who he will stick with and older players who have earned his trust. Razor goes with what he knows and appears reluctant to accept quick change. He is the kind of coach who will change incrementally and that may not be a bad thing given his position and the profile of his squad. It also gives the players time to setlle into their roles and to work within his system. Razor has a narrow focus on winning. he wants results now and wont take any risks in selection while he believes the current group can win. He is the most conservative NZ coach in the last 25 years to take the top job. This could stall NZ progress or it could create a team that is unstoppable and ready for anything going into 2027 albeit without the same level of depth as the Boks.

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