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Les Bleues veulent conserver la même philosophie contre les États-Unis

Nassira Konde (France) lors du Six Nations 2024 (Photo de CHRISTOPHE ARCHAMBAULT/AFP via Getty Images)

Ce qui est passé est passé.

Tel est le message à retenir du point presse du mercredi 2 octobre. Alors que l’équipe de France féminine affronte les États-Unis le 5 octobre pour le compte de la deuxième journée du WXV 1 2024, Émeline Gros et Nassira Konde ont affiché un état d’esprit déterminé après la défaite contre le Canada en ouverture.

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« On a vu où on a pêché, on a quand même un projet de défense qui reste le même, il faut juste qu’on l’applique et qu’on s’adapte aux adversaires », affirme Émeline Gros. « La philosophie reste la même mais on va peaufiner ce qui a pêché, comme quand on doit resserrer ou quand on doit éclater. »

Nassira Konde va dans son sens et ne veut pas s’éterniser sur cette défaite.

« Il y a une prise de conscience. On sait où on en est. » Elle n’est pas non plus inquiète en vue de la Coupe du Monde de Rugby féminine 2025.

« On a un an pour peaufiner ça. On est alertées sur certains points mais ce n’est pas pour autant qu’on n’y croit pas. »

Rencontre
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Pour les deux joueuses, ce match contre les États-Unis revêt une importance qui va au-delà du simple résultat.

« Au-delà de faire mieux que l’an dernier, on veut monter au ranking mondial. Nous sommes compétitrices et on veut gagner chaque match. Le but est de se focaliser sur les USA avant de penser à la Nouvelle-Zélande », ajoute Gros.

Pour monter au classement World Rugby, même si ce seul match ne peut changer le classement des Françaises, il faudra battre « une équipe qui, comme le Canada, est assez massive. » Les Françaises se savent attendues par une équipe qui a su donner du fil à retordre à l’Angleterre. « On sait que ça va être un gros match mais on se focalise plutôt sur nous et ce qu’on va mettre en place pour toucher leurs points faibles, aller scorer pour gagner », résume Émeline Gros.

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Cette dernière est également revenue sur le forfait de Manon Bigot, touchée à une cheville.

« C’est toujours émouvant quand une coéquipière se blesse et nous quitte. Son départ s’est fait comme à chaque fois. »

« On est un groupe assez soudé. On a un groupe qui vit très bien en rugby et cela s’est fait en l’accompagnant, en parlant et en riant avec elle. C’est notre ADN. On a un groupe jovial. On l’accompagne de notre mieux jusqu’à son départ. »

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c
cw 4 hours ago
The coaching conundrum part one: Is there a crisis Down Under?

Thanks JW for clarifying your point and totally agree. The ABs are still trying to find their mojo” - that spark of power that binds and defines them. Man the Boks certainly found theirs in Wellington! But I think it cannot be far off for ABs - my comment about two coaches was a bit glib. The key point for me is that they need first a coach or coaches that can unlock that power and for me that starts at getting the set piece right and especially the scrum and second a coach that can simplify the game plans. I am fortified in this view by NBs comment that most of the ABs tries come from the scrum or lineout - this is the structured power game we have been seeing all year. But it cannot work while the scrum is backpeddling. That has to be fixed ASAP if Robertson is going to stick to this formula. I also think it is too late in the cycle to reverse course and revert to a game based on speed and continuity. The second is just as important - keep it simple! Complex movements that require 196 cm 144 kg props to run around like 95kg flankers is never going to work over a sustained period. The 2024 Blues showed what a powerful yet simple formula can do. The 2025 Blues, with Beauden at 10 tried to be more expansive / complicated - and struggled for most of the season.

I also think that the split bench needs to reflect the game they “want” to play not follow some rote formula. For example the ABs impact bench has the biggest front row in the World with two props 195cm / 140 kg plus. But that bulk cannot succeed without the right power based second row (7, 4, 5, 6). That bulk becomes a disadvantage if they don’t have a rock solid base behind them - as both Boks showed at Eden Park and the English in London. Fresh powerful legs need to come on with them - thats why we need a 6-2 bench. And teams with this split can have players focused only on 40 minutes max of super high intensity play. Hence Robertson needs to design his team to accord with these basic physics.



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