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Finale Toulouse - UBB : les meilleures déclarations

Le manager toulousain Ugo Mola, son homologue girondin Yannick Bru et quelques joueurs ont régalé en conférence de presse, au cours de la semaine précédant la finale (Photo by VALENTINE CHAPUIS/AFP via Getty Images).

A quelques heures de la finale du Top 14, qui opposera le Stade Toulousain à l’Union Bordeaux-Bègles (21h05 au stade Vélodrome de Marseille), RugbyPass a relevé toutes les déclarations issues des conférences de presse des deux clubs durant la semaine, pour en compiler les plus insolites, provocatrices, ou encore drôles.

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Tous derrière et lui devant

« Est-ce qu’ils marqueront le club plus que les autres générations ? Je leur souhaite. Moi je pense qu’il en manque encore un peu… Ce n’est que mon avis. Ils sont pas mal mais il en manque. Ma génération avait gagné quatre titres d’affilée, avec une Coupe d’Europe, c’était quand même pas mal ça… »

Ugo Mola maintient la pression sur ses joueurs, bardés de trophées mais pas encore au niveau de leurs prédécesseurs, selon leur manager.

C’est Marseille bébé !

« C’est vrai que cela ne me rappelle pas forcément de bons souvenirs, de voir la sortie que j’avais faite il y a quelque temps ici… Merci de me le rappeler ».

Antoine Dupont et le Stade Vélodrome, ce n’est pas forcément la grande histoire d’amour. C’est en effet dans l’enceinte phocéenne que l’équipe de France jouait, contre la Namibie lors de la dernière Coupe du Monde, quand le demi de mêlée s’était fait fracasser la pommette…

«Chaque semaine, il y a des cycles, des moments où le pessimisme est là, certains joueurs blessés pensent qu’ils ne pourront pas être là et, plus les jours avancent, des fois, il y a un espoir qui naît, a expliqué le manager bordelais Yannick Bru

Cours Tevita, cours !

« Après, mon rôle est plutôt simple : les mecs me passent le ballon, et je cours. »

Tevita Tatafu, le N.8 de l’UBB, a bien saisi sa mission. L’international japonais, d’origine tongienne, a apporté une dimension physique qui manquait à l’UBB.

L’école Guy Novès ?

« Tameifuna ne pourra pas postuler à la finale ».

Lundi, le manager de l’UBB Yannick Bru actait le forfait du pilier droit pour la finale. Jeudi, « Big Ben était annoncé titulaire, dans un coup de bluff qui rappelle la grande époque du Stade Toulousain chapeauté par Guy Novès, qui comptait un certain Yannick Bru dans ses rangs.

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Laisse béton

« Évidemment, on se reconnaît plus dans l’adversaire qu’on va rencontrer que dans le côté hermétique du Stade Français. »

Encore Yannick Bru, qui évoque avec pudeur le jeu assez restrictif du Stade Français, battu en demi-finale par l’UBB grâce notamment à deux essais sur… ballon porté.

Dupont le touriste

« Ce qu’il a oublié de vous dire, c’est qu’il n’a jamais eu autant de vacances. »

Ugo Mola était d’humeur taquine en conférence de presse au sujet de son capitaine Antoine Dupont. Interrogé sur la saison « à la carte » du demi de mêlée, le manager toulousain a eu cette réponse dans un sourire, n’occultant pas que pendant ses vacances, Dupont a glané un titre de champion du monde de Sevens. Tout en menant le Stade Toulousain à la victoire en Champions Cup.

Allez l’OM

« J’étais petit, je ne réalisais pas forcément, mais j’avais trouvé l’engouement impressionnant chez les supporters. Voir autant d’euphorie sur un match, j’avais trouvé ça beau et j’avais passé mon temps à regarder les tribunes. »

Le demi de mêlée Maxime Lucu, fan de l’OM, allait au Vélodrome enfant et est ravi d’y évoluer en finale de Top 14.

Que la montagne est belle

« C’est clairement une montagne ».

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Le Stade Toulousain fait figure de sommet à gravir pour Maxime Lucu. Le demi de mêlée de l’UBB endosse le rôle de l’outsider. Mais la montagne est tellement belle qu’il compte bien monter dessus.

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Comments on RugbyPass

c
cw 4 hours ago
The coaching conundrum part one: Is there a crisis Down Under?

Thanks JW for clarifying your point and totally agree. The ABs are still trying to find their mojo” - that spark of power that binds and defines them. Man the Boks certainly found theirs in Wellington! But I think it cannot be far off for ABs - my comment about two coaches was a bit glib. The key point for me is that they need first a coach or coaches that can unlock that power and for me that starts at getting the set piece right and especially the scrum and second a coach that can simplify the game plans. I am fortified in this view by NBs comment that most of the ABs tries come from the scrum or lineout - this is the structured power game we have been seeing all year. But it cannot work while the scrum is backpeddling. That has to be fixed ASAP if Robertson is going to stick to this formula. I also think it is too late in the cycle to reverse course and revert to a game based on speed and continuity. The second is just as important - keep it simple! Complex movements that require 196 cm 144 kg props to run around like 95kg flankers is never going to work over a sustained period. The 2024 Blues showed what a powerful yet simple formula can do. The 2025 Blues, with Beauden at 10 tried to be more expansive / complicated - and struggled for most of the season.

I also think that the split bench needs to reflect the game they “want” to play not follow some rote formula. For example the ABs impact bench has the biggest front row in the World with two props 195cm / 140 kg plus. But that bulk cannot succeed without the right power based second row (7, 4, 5, 6). That bulk becomes a disadvantage if they don’t have a rock solid base behind them - as both Boks showed at Eden Park and the English in London. Fresh powerful legs need to come on with them - thats why we need a 6-2 bench. And teams with this split can have players focused only on 40 minutes max of super high intensity play. Hence Robertson needs to design his team to accord with these basic physics.



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